Écotourisme, train-bragging… Huit mots pour être incollable sur le tourisme durable


La volonté de préserver les ressources d’un territoire en minimisant les impacts négatifs sur l’environnement et sa population est le dénominateur commun de ces différents mouvements. Lurii Seleznev / Adobe Stock

Difficile d’y voir clair parmi tous ces termes associés à de nouvelles manières de voyager. Leur point commun : la volonté de préserver les ressources d’un territoire en minimisant les impacts négatifs sur l’environnement et sa population. On fait le point.

Slow tourisme

Inspiré par le mouvement slow food, le « tourisme lent Â» est l’art de voyager en prenant son temps, pour s’imprégner pleinement de la richesse d’un territoire et de son patrimoine. Aux antipodes du tourisme de masse, il s’agit de privilégier les destinations proches de chez soi, l’utilisation de moyens de transport peu polluants, les rencontres avec des acteurs du territoire, les activités douces et la déconnexion.

Écotourisme

Apparu dans les années 1970, ce terme englobe toutes les formes de tourisme dans lesquelles la principale motivation est l’observation de la nature, de la biodiversité qu’elle abrite et de la découverte des cultures locales. Cette façon de voyager intègre des caractéristiques d’interprétation du milieu naturel, dans une logique de préservation et de valorisation de cet environnement.

Tourisme régénératif

Cette approche récente et évolutive du tourisme durable a pour objectif de laisser un endroit dans un meilleur état que celui dans lequel on l’a trouvé. Nettoyer une plage, planter des arbres…

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