New York et l’art, l’éternel phénix de la création


BACK TO THE BIG APPLE (5/7) – Après des mois très durs et un confinement qui a mis les musées et les galeries sur pause, la vie repart avec l’énergie propre à l’Amérique. Manhattan a changé, mais elle est toujours la ville qui ne meurt jamais, chère aux artistes.

Le New York de l’art a cette vitalité de renaître à chaque blessure. Après le 11 septembre 2001, la crise des subprimes de l’été 2007, le « krach de l’automne 2008 Â» semèrent la panique. Comme un judoka qui n’a pas touché le tapis de ses épaules, Manhattan résista et se réinventa, signalant au marché de l’art international que ses artistes, ses musées, ses galeristes étaient bien là et valaient toujours le voyage. La pandémie du Covid a cruellement frappé la ville et fait fuir ses plus éminents marchands vers les Hamptons, le Maine ou Saint-Barth. Aujourd’hui, à l’image du roi de New York, Larry Gagosian, c’est le retour dans l’île, prudent, réfléchi, mais décidé.

Et la géographie de l’art en a profité pour changer. Là où le petit monde de l’art contemporain arpentait, chaque samedi matin avant le brunch et les œufs Bénédicte, les petites rues de Chelsea, de la 19th Street à la 26th Street, la vie des galeries a repris. Les plus ardents collectionneurs, les plus fortunés et les plus…

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