Carnet de voyage en Crète, solaire et métissée


L’ancienne capitale de la grande île grecque retrouve ses couleurs. Entièrement rénové, son centre historique se remplit d’adresses pétillantes ou raffinées, tandis que son arrière-pays regorge de plages paradisiaques et d’infinies possibilités de randonnées.

Par Maud Vidal-Naquet (texte) et Laurent Fabre (photos) pour Le Figaro Magazine.

Plus qu’une île, une chaîne de montagnes émergeant de la mer : telle est la première impression que donne la Crète tant ses monts majestueux, poudrés de neige six mois par an, attirent le regard lorsqu’on l’approche par avion ou par bateau. L’île, qui s’étire tel un long peigne entre l’Égée et la mer de Libye, est plus proche de l’Afrique que d’Athènes. Sa position stratégique au cœur de la Méditerranée en a fait de tout temps une escale convoitée : que ce soit pour les galères vénitiennes, qui orchestraient le commerce levantin entre l’Orient et l’Occident, pour les marines anglaise ou italienne, qui veillaient sur le canal de Suez ou le Proche-Orient, ou aujourd’hui pour les porte-avions américains, l’Otan ayant une base majeure dans la baie de Souda, à une douzaine de kilomètres de La Canée, la deuxième ville crétoise.

La Canée, Chania ou Hania en grec, Kydonia dans l’Antiquité, est sans conteste

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 95% à découvrir.

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 1€ le premier mois

Déjà abonné ?
Connectez-vous



Source link

Voir aussi :  Formation pour devenir moniteur de plongée en Asie avec le centre idc 5 étoiles académie

Vous aimerez aussi...